Après des années de tension, le marché de l’automobile sur le plan international retrouve sa force et son vigueur. Au Brésil, en Inde, en Iran et en Russe, tout semble être bien repartit pour ce qui est de la commerce automobile. Bien sûr, la situation varie au cas par cas. Quoi qu’il en soit, tout laisse espérer un avenir plus radieux pour ces derniers.
Des perspectives d’amélioration pour le marché brésilien et indien
La vente de voiture neuve a connu moult difficultés au Brésil. En 2016, elle a même chuté de 20 %. Mais depuis quelques mois, la crise semble se dissiper. Un rebond de 5 % a été constaté selon les estimations. Les constructeurs envisagent même cette reprise en second trimestre de l’année 2018.
Quant à l’Inde, même si l’on y compte moins de voitures par rapport à la France, le pays a de forts espoirs d’être un des trois premiers continents actifs dans le marché de l’automobile d’ici 2020. Le marché interne devrait être deux fois plus d’ici quelques dizaines d’années selon les analystes. Et les industries automobiles locales n’y seront pas étrangères.
L’Iran et Russie reprennent enfin de la souffle
Les frontières de l’Iran s’ouvrent finalement aux constructeurs automobiles étrangers. Le Président Rohani l’a décidé. Avec l’entrée des grandes marques comme BMW, ou Ford, ou encore Wolskawagen, le marché de l’automobile de ce pays devrait atteindre l’évolution estimée par les experts. La production locale devrait dépasser les 1.5 million cette année. De son côté, le marché de l’automobile en Russie a connu une nette évolution depuis le début de cette année. C’est une bonne nouvelle pour ce pays qui a connu 4 ans dans le rouge dans ce secteur. Aujourd’hui, il aspire à une plus grande production et développement.